Nous avons connu et aimé le chrétien enthousiaste et le royaliste fidèle Amédée d’Yvignac sur la fin de ses jours, à la maison de retraite des petites sœurs des pauvres de la rue de Varize (XVIe arrdt), où il avait pu entrer, après des années d’extrême solitude et d’inimaginable pauvreté — ses anciens patrons ayant « oublié » de le déclarer à la sécurité sociale — grâce à Bertrand Renouvin qui avait pris le dossier en main.
Il avait été le secrétaire de Maurras, l’ami de Maritain, de Bernanos, de Jean Daujat... avait eu une longue carrière journalistique, notamment de chroniqueur parlementaire. Mais une seule chose l’intéressait : l’avenir. D’une absence totale de sectarisme, il recevait volontiers, et sans jamais penser à mal, tel historien qui lui faisait à peu près dire le contraire de ce qu’il pensait...
FA
http://data.bnf.fr/12280474/amedee_d__yvignac/
http://www.medias19.org/index.php?id=21310
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Daujat
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/mcm_1146-1225_1995_num_13_1_1133