Document : Chroniques du Pont Royal (numéro 2 - avril 1947)
Nous avons connu et aimé le chrétien enthousiaste et le royaliste fidèle Amédée d’Yvignac sur la fin de ses jours, à la maison de retraite des petites sœurs des pauvres de la rue de Varize (XVIe arrdt), où il avait pu entrer, après des années d’extrême solitude et d’inimaginable pauvreté — ses anciens patrons ayant "oublié" de le déclarer à la sécurité sociale — grâce à Bertrand Renouvin qui avait pris le dossier en main.
Il avait été le secrétaire (...)