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N° 320

CONTRE UNE SOCIETE DE ROBOTS

Numéro spécial été 1980

mardi 1er juillet 1980

CONTRE UNE SOCIÉTÉ DE ROBOTS

Ce que nous voulons dire

Nous prétendons que, dans la France d’aujourd’hui, les citoyens sont privés de libertés essentielles, que l’économie leur échappe et que, en conséquence, leur travail devient un esclavage, qu’une culture étrangère leur est imposée. Des hommes ont, grâce à une stratégie élaborée de longue date, mis en place dans notre pays un régime étouffant. La dictature de l’argent s’est imposée chez nous, et avec elle, selon la logique de la Société Industrielle, l’impérialisme américain. Affirmations de doctrinaires de la Révolution que tout cela, diriez-vous peut-être... si nous ne vous présentions pas dans les pages de ce numéro spécial le dossier étayant nos accusations... Présentation du numéro en page 1 par Frédéric Aimard

L’économie redéployée

L’alibi commode de la « crise pétrolière » n’est-il pas en réalité le masque derrière lequel se dissimule la volonté de soumettre notre pays aux lois d’airain du capitalisme financier international ? Article d’Alain Solari en page 2.

Une société inégalitaire

Sept ans d’exercice du pouvoir par le clan giscardien ont eu des conséquences profondes sur l’évolution de la société française. De nouveaux clivages se dessinent et la logique de l’argent est en train de couper la France en deux parties qui seront de plus en plus étrangères l’une à l’autre... Article de Jean-Pierre Lebel en page 5.

Pourquoi le comte de Paris

Il arrive que des amis non-royalistes me demandent : mais enfin, la constitution de la Ve République ne vous suffit-elle pas ? N’est-elle pas en soi monarchique, ne garantit-elle pas une relative indépendance du pouvoir ? N’a-t-elle pas prouvé en dépit d’inévitables aléas qu’elle assurait une certaine continuité dans la poursuite des objectifs politiques essentiels, principalement en politique étrangère. Qu’at-tendez-vous de mieux ? Un roi ? Le comte de Paris ? Mais quelles qualités éminentes et extra-ordinaires le mettraient au-delà du lot commun et lui vaudraient plus de grâce d’Etat que l’élite de nos présidentiables (Giscard, Chirac, Rocard, Mitterrand ?) ? ... Article de Gérard Leclerc en page 14.